Résumé : En mobilisant l’écopoétique non seulement en tant qu’objet d’études, mais aussi en tant que pratique, Bénédicte Meillon nous livre un texte personnel qui fait vibrer les mots au son du ressenti « écoféminin » qu’elle nous apprend à écouter. Depuis maintenant cinq ans, elle anime à l’université de Perpignan un atelier de recherche en écocritique et écopoétique.